C’est toujours la même chose quand un artiste meurt. On ne sait jamais ce qu’il faut aller chercher au fond de soi pour vivre un peu moins mal cette nouvelle à la con. Des sons, des images, des émotions, des souvenirs, des rencontres ? Tout cela mélangé, sans doute.
Avec Alain Bashung, on pourrait aussi ouvrir le dictionnaire du laudatif. Plus grand, plus fort, plus haut, plus admirable, plus magnifique, plus extraordinaire, plus mieux, plus encore puisque affinités.
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Des textes, ici et ailleurs, à la beauté hermétique, à l’humeur noire, au sourire en cicatrice. De l’ironie, toujours. L’humour d’un certain désespoir sans doute. Et de la poésie qui mêle la trivialité des jeux de mots souriants et l'évocation de mondes intimes." Eric Libiot (L'Express)
Parce qu'il achète la maquette d'un bateau appelé la Licorne, Tintin, un jeune reporter, se retrouve entraîné dans une fantastique aventure à la recherche d'un fabuleux secret. En enquêtant sur une énigme vieille de plusieurs siècles, il contrarie les plans d'Ivan Ivanovitch Sakharine, un homme diabolique convaincu que Tintin a volé un trésor en rapport avec un pirate nommé Rackham le Rouge. Avec l'aide de Milou, son fidèle petit chien blanc, du capitaine Haddock, un vieux loup de mer au mauvais caractère, et de deux policiers maladroits, Dupond et Dupont, Tintin va parcourir la moitié de la planète, et essayer de se montrer plus malin et plus rapide que ses ennemis, tous lancés dans cette course au trésor à la recherche d'une épave engloutie qui semble receler la clé d'une immense fortune' et une redoutable malédiction.