Mon Père ma Mère Mes Tremblements de Terre

Piik est certain d’une chose, il ne sera pas bourreau comme son père !
Sa passion à lui, ce sont les plantes médicinales, intérêt que sa mère a tout juste eu le temps de lui transmettre avant d’être brûlée au bûcher des sorcières. Elle lui a aussi laissé une lettre, à lui qui ne sait pas lire ! Piik va devoir grandir plus vite que ses copains, quitter son père et mettre un terme à la longue lignée de bourreaux s’il veut apprendre à lire et découvrir ce que sa mère avait de si important à lui dire pour entourer cette lettre d’autant de secrets…

Le jeune Icare vient d'être enlevé. Échappant à ses ravisseurs, ce fils de famille riche qui aime à traîner dans les lieux interlopes de la Carnathie se met à enquêter sur ses origines. Lui, le fils du procureur Général Dragan Daedelus qui dut s'exiler lors de la chute de la Monarchie se voue à des aventures labyrinthiques pour retrouver père et mère. Dans l'univers nomade des Gipsies ou dans les bibliothèques sans mémoire, un nom apparaît, celui d'Arijana qui semble posséder les clés du mystère familial et celui, non moins important, de la vie politique du pays.

An de grâce 982... Guillaume naît avec les yeux vairons, signe considéré comme la marque du malin. Son père, le seigneur de Montrouge, devra offrir mille pièces d'or à l'église pour lui éviter le bûcher... Quatorze ans plus tard, père et fils affronteront Antor leur Suzerain, responsable de la mort de la belle Isabeau, seconde épouse du seigneur de Montrouge.

Comme une fable venue des territoires de l'enfance, Grimion gant de cuir retrace l'itinéraire d'un être hybride, mi-homme, mi-bête... Pierre Makyo jongle avec les légendes enfouies et construit avec l'enchanteresse habileté du conteur, une légende des temps modernes chaleureuse et envoûtante... Dans un esprit parfois allégorique, parfois ancré de manière brute dans le réalisme, Grimion gant de cuir transporte le lecteur aux portes du rêve...

S'inspirant de l'histoire de sa grand-mère, Jorge Zentner nous raconte le passage de l'enfance à l'âge adulte à travers les yeux de son héroïne. Mais cet album est aussi un hymne à la mémoire du peuple juif et à la transmission orale et écrite de son histoire, de sa diaspora, et conte avec nostalgie l'inévitable passage de la tradition ancestrale à la modernité d'un pays en pleine mutation, l'Argentine.

Petite métaphore du drame... Avant de mourir d'un cancer, la maman de Thomas lui a fait cadeau d'un masque de lionceau. Le petit garçon le portera tout au long du récit pour raconter la spirale du désespoir dans laquelle lui et son père sont emportés.

Le livre, très vieux et très mystérieux, tue (paraît-il) ses lecteurs... Personne ne pouvait le dater avec exactitude. A la fin du XVIIIe siècle il disparaît ainsi que son dernier détenteur, Joseph Black, célèbre chimiste. Mais est-ce que Black est mort ou (comme certains le prétendent) immortel et est-ce que Sam, pauvre orphelin, qui rêve de s'envoler va pouvoir percer ces mystères ? Peut-être avec l'aide d’Éline qui habite un vieux château perdu dans la lande écossaise ? Et qu'est-ce que Panchrysia : " Celle qui est tout en or ? "