Partitions Music

Klaus Mäkelä amène l'Orchestre de Paris à Decca Classics pour un nouvel album majeur des partitions de ballet les plus emblématiques de Stravinsky. L'album représente le premier enregistrement de Mäkelä avec son orchestre français, qui sera suivi d'une autre sortie des Ballets Russes en 2024 avec Petrushka de Stravinsky et Jeux et L'Après midi d'un faune de Debussy.

As the title of this album suggests, AN ARC OF QUARTETS gives listeners unique access to a continuum of composer Michael G. Cunningham’s intricate and inviting string music. Five international string ensembles present the album’s seven compositions, including Sirius Quartet from New York; The Moravian Quartet from the Czech Republic; the Millennium Quartet from Florida; and The Pedroia Quartet and New England String Quartet, both from Massachusetts. These groups’ performances of Cunningham’s work present the hallmarks of his style of string writing, which is defined by a focus on rhythm, melody, and texture, as well as his gentle, yet often dissonant, harmonic language. Although these quartets contain a wide range of sounds and styles, Cunningham maintains a reliable attraction to tense, lyrical melodies, and energetic rhythms.

Avec le présent programme, Cyprien Katsaris inaugure chez Melism Records une série d’enregistrements dédiés à la musique grecque composée après l'indépendance de 1821. Cette série inclura de nombreuses (re)découvertes d’œuvres peu jouées, comme des compositions admirées et plus fréquemment jouées mais très rarement en dehors des frontières de la Grèce.

Les trois premiers ballets composés par Stravinski à l’orée du XXe siècle ont bouleversé les habitudes d’écoute et fait souffler un vent puissamment original sur la musique occidentale. C’est aussi un vent nouveau qui a ramené Sir Simon Rattle à Londres après ses prestigieuses années berlinoises.

L'enregistrement présenté ici, dont le programme permet de découvrir ou redécouvrir des pages plus ou moins méconnues, n'a rien d'une commande opportuniste, soucieuse de s'inscrire dans un mouvement à la mode, en l'occurrence la promotion militante de la création féminine. Certes, la noblesse d'une telle cause n'a pas échappée aux deux interprètes, Clara Danchin et Anna Jbanova, mais, plus généralement, la ferveur de leur jeu impose surtout l'idée qu'il convient de rendre justice à des oeuvres qu'on ne saurait reléguer au rang de curiosités. La fonction muséale de l'enregistrement joue son rôle, mais dans une perspective qui vise clairement à encourager des exécutions en concert. Il est certaines partitions, en effet, qui furent victimes des vents contraires du destin, et la Sonate de Marguerite Canal, par exemple, ne saurait mieux illustrer notre propos. On le sait, elle avait enthousiasmé le grand Enesco qui, frappé par la mort, ne put réaliser son projet de la donner en public.

Né au Quebec en 1961, Marc-André Hamelin étudie le piano avec son père, puis intègre l’Ecole de musique Vincent d’Indy auprès d’Yvonne Hubert, une disciple d’Alfred Cortot. Sa carrière débute quand il remporte en 1985 le prestigieux prix du Carnegie Hall International Competition for American Music qui le propulse sur le devant de la scène internationale. Également compositeur, il commence à écrire de la musique pour piano à l’âge de 19 ans. Il réalise des arrangements complexes de partitions de Liszt et Chopin.