Dans la France du XIVe siècle, Philippe IV, dit le Bel, roi d'une beauté légendaire, mène le pays d'une main de fer. Devant lui, il n'est d'autre choix que de plier ou de rompre. Pour réformer l'Etat et le moderniser, il ne recule devant aucun sacrifice. L'histoire commence avec le procès que Philippe le Bel fit aux Templiers pour en amoindrir le pouvoir et confisquer leur immense fortune.
Lu par Jérémie Covillault. Prix Audiolib 2023…
Les Rois maudits est une suite romanesque historique écrite par Maurice Druon avec une équipe de collaborateurs, entre 1955 et 1977, basée sur la légende inventée par le chroniqueur italien Paolo Emilio selon laquelle le dernier grand maître du Temple Jacques de Molay aurait lancé une malédiction sur le bûcher à l'encontre du roi de France Philippe IV le Bel, du pape Clément V, de Guillaume de Nogaret1 et de leurs héritiers et descendants pendant treize générations. …
Un roi méconnu dont l'œuvre considérable, souvent décriée, souvent caricaturée, a masqué l'homme. …
Début du XIVe siècle. Philippe Le Bel règne sur le royaume de France, puissant mais désargenté. Or l'Ordre du Temple est à la fois riche et influent. Le roi décide d'éradiquer ce contre-pouvoir qui le menace. Au moment de passer sur le bûcher, Jacques de Molay, grand maître de l'Ordre, maudit le pape, le roi et ses héritiers jusqu'à la treizième génération. …
Alors que l'ordre du Temple est en passe d'être détruit, Hugues de Malemort sait désormais que l'apôtre Thomas a prophétisé sa venue voilà treize siècles et tente de déchiffrer le sens du texte que ce dernier lui a laissé. Sachant qu'il n'a qu'une semaine pour trouver la pierre philosophale, il se lance à sa poursuite avec ses compagnons templiers dans les rues de Paris. …
The reign of Philippe IV the Fair of France, from the late thirteenth through the early fourteenth centuries, was marked by prosperity and a flourishing of the arts. During Philippe's reign, several important collections of music were copied, including the Montpellier Codex, the Chansonnier Cangé, and the Robertsbridge Codex, which remain the most significant sources of music of the era. The selections from those manuscripts recorded here are delightfully diverse: estampies – perky folk-like dances, polyphonic secular motets, and soulful Trouvère love songs. The music has a rough-hewn quality to it – it was written well before the conventions of western classical music had fallen into place, and it follows a logic that's foreign to modern sensibilities accustomed to music from the Renaissance to the Contemporary periods.