Spears

The soft commercial performance of 2013's Britney Jean made it clear that it was time for Britney Spears to shake up her recording career – a move made somewhat less urgent due to the success of Britney: Piece of Me, the residency show she launched at Las Vegas' Planet Hollywood a few months after the release of Britney Jean. Sin City's influence can be heard within the splashiness of the arrangements of certain portions of Glory, the 2016 album designed to be Britney's return to the Top 40. To that end, Glory downplays the show biz glitz of Vegas in favor of modern dance-pop, one with EDM undercurrents and hip-hop overtones. Sometimes echoes of other stars can be heard – Justin Bieber's Purpose appears to a primary text – but despite this contemporary gloss, the album usually relies on sounds of Spears' past, trading heavily on the cloistered dance of Blackout and the shimmering neon of Femme Fatale.

La star de la pop américaine raconte dans ses mémoires l'importance de la musique, de l'amour et, surtout, de la liberté. En effet, elle aborde notamment son dur combat pour se soustraire de sa tutelle paternelle. …

« Petite sour, non, je ne suis pas moqueur… je t'ai répondu franchement, mais pourquoi dis-tu que je me moque de toi ? C'est vrai que je ne connaissais pas cette fille, comment tu l'appelles ? Britney, c'est ça, Britney Spears. Elle vit à Londres comme moi dis-tu, oh tu sais la ville est grande et chacun y a sa place, les chanteuses comme les sourds-muets. Je ne la connais pas, je n'ai pas le temps d'aller aux concerts ici, ni d'aller nulle part me distraire, pas de ciné, pas de loisirs, le boulot, le boulot, le boulot… un nègre à Londres ne connaît que cela, bosser, bosser, bosser…