Lattès

Avec sa pochette illustrée par Simon Bailly qui semble sortir tout droit d’une bande dessinée de Blake et Mortimer, cette production des Frivolités Parisiennes sous la direction de Dylan Corlay présente Le Diable à Paris de Marcel Lattès, une plaisante opérette conçue comme un pastiche grinçant et cynique de Faust. Tous les personnages sont idiots et méchants, le diable lui-même est ridiculisé par la perfidie humaine.

Viv è un'Orchessa e fa quello che fanno le orchesse: per tutto il giorno spacca crani, sparge sangue, semina morte e distruzione. Giunta a una certa età, però, si è stufata della routine della guerriera e così – complici una leggenda dimenticata, un manufatto magico e un'irragionevole dose di belle speranze –, quando si ritrova per le strade di Thune, decide di aprire lì un caffè. Il primo caffè della città, per essere precisi. Ma il suo sogno di un nuovo inizio e di giornate passate a servire bevande aromatiche anziché a roteare lame deve attendere. Già: da un lato ci sono vecchi nemici che non hanno alcuna intenzione di abbandonare la lotta; dall'altro gli abitanti di Thune, che non hanno mai assaggiato un latte macchiato e quindi non sanno di averne bisogno..

Pour la première fois apparaît le visage de ce Juste parmi les Nations, qui protégea Primo Levi à Auschwitz, sans demande de retour. Émerge aussi un lien qui défia la grande Histoire, entre un analphabète et un lettré, un maçon et un intellectuel, tous deux piémontais, et unis à jamais par cette expérience d’humanité au sein d’un camp d’extermination. Au point que Primo Levi nomma ses enfants Lisa Lorenza et Renzo…Une bouleversante enquête d’historien sur une fraternité de l’extrême

Pour la première fois apparaît le visage de ce Juste parmi les Nations, qui protégea Primo Levi à Auschwitz, sans demande de retour. Émerge aussi un lien qui défia la grande Histoire, entre un analphabète et un lettré, un maçon et un intellectuel, tous deux piémontais, et unis à jamais par cette expérience d’humanité au sein d’un camp d’extermination. Au point que Primo Levi nomma ses enfants Lisa Lorenza et Renzo…Une bouleversante enquête d’historien sur une fraternité de l’extrême