Compagnon de route et enfant chéri du surréalisme à ses débuts, Robert Desnos en illustra l'âge d'or, entre 1922 et 1930 - période à peu près couverte par Corps et Biens. Archétype du poète prodige, le provocateur fougueux, l'amant passionné, le fantôme qui trouva la mort au camp de Trevezin en 1945 ou le tout jeune homme inspiré qui dictait des poèmes entiers durant son sommeil nous ouvre les portes d'un monde merveilleux …
La bande dessinée est un mode d'expression séquentiel, caractérisé par la juxtaposition d'une pluralité d'images solidaires. La conduite du récit (le découpage) et la gestion de l'espace (la mise en page) y sont donc deux opérations indissociables, qui ne cessent de s'informer et de se déterminer mutuellement. Cet ouvrage propose une analyse neuve des fondements du langage de la bande dessinée. Partant de la description minutieuse de ses différentes unités constitutives, il débouche sur une explication des mécanismes producteurs de sens. …
Quatre musiciens ont rejoint Mahut, Rodolphe et Jacques, et dans le même temps, dix nouvelles chansons surgissent, instants de vie intense, immortalisés par les dessins de Dupuy & Berberian, ou les images d'Emma Pick. Ces chansons, elles étaient déjà là, elles aussi, il suffisait de les réveiller, de les laisser éclore le moment venu. Ce sont les sœurs des meilleures chansons d'Higelin, la quintessence même de son art, de son langage. On les reconnaît tout de suite : inimitables, nées du fin fond de ce qui le toucha si tôt. Elles approchent en procession depuis la Nouvelle Orléans, du fond des bals de son enfance. Les lourdes valses du passé, chaloupées, les larmes aux yeux, guirlandes et cuivres. « Soul » en avalanche, directement reliées aux muscles, aux nerfs, la joie, la rage, la démesure, l'insouciance… Un fil directement tendu à travers le temps.
For years the undisputed Rossini tenor par excellence, Juan Diego Flórez at last makes his debut in the hugely demanding role of Arnold and 'masters his part with seemingly effortless perfection' (Die Presse). Graham Vick's 2013 production gives the opera uncut in its original French version, complete with the often omitted ballet music. The William Tell legend of patriotic and political intrigue in 14th-century Switerland is interpreted by Vick as a timeless class conflict with dramatic and unforgettable images. A 'perfect cast' is conducted with 'verve and intensity' (Opera Today)
“Grand, cinematic opera, in wide-screen and Surround Sound” – this is how Germany’s daily Die Welt sees Rossini’s “Guillaume Tell” (1829) from the Rossini Opera Festival Pesaro. The renowned Festival has produced an impressive staging of Rossini’s last opera, which is feared for its multitude of high notes by all tenors singing the role of Arnold – except, perhaps, the phenomenal Juan Diego Flórez, “in a class of his own” (Deutschlandradio), who interprets this role here.
“Grand, cinematic opera, in wide-screen and Surround Sound” – this is how Germany’s daily Die Welt sees Rossini’s “Guillaume Tell” (1829) from the Rossini Opera Festival Pesaro. The renowned Festival has produced an impressive staging of Rossini’s last opera, which is feared for its multitude of high notes by all tenors singing the role of Arnold – except, perhaps, the phenomenal Juan Diego Flórez, “in a class of his own” (Deutschlandradio), who interprets this role here.