En 1969, C. de Gaulle perd le référendum qu'il avait organisé sur les régions et la réforme du Sénat. Il annonce sa démission et se retire définitivement à Colombey. L'historien revient sur les derniers mois au pouvoir de l'homme d'Etat et montre en quoi celui-ci a pressenti les angoisses et la tentation du renoncement qui se sont emparées des démocraties occidentales cinquante ans plus tard. …
1940. Un officier inconnu des Français refuse l'armistice et la soumission de la France à l'ordre nouveau. Il deviendra le chef de toute la Résistance et finira par incarner la République. À la tête du gouvernement de 1944 à 1946, puis en 1958, il jette à deux reprises les bases du redressement de la France. Président de la République de 1959 à 1969, de Gaulle oriente son action dans trois directions : la stabilité politique, la croissance économique et l'indépendance nationale. La nouvelle République se trouve ainsi consolidée. …
Frémeaux et Associés, avec l'aide de l'INA et de l'IAS, présente une anthologie des grands discours du Général de Gaulle…
Croisant les sources françaises et européennes, l'auteur éclaire le grand débat qui a précédé la création du Marché commun puis ceux qui ont animé les décideurs français dans la France gaulliste. Le général de Gaulle apparaît ainsi comme une sorte de "père involontaire" de l'Europe. Sans son action, la CEE n'aurait pas pu se développer aussi rapidement. …
En 1939, lorsque la guerre éclate, voilà déjà cinq ans qu'un colonel clame dans le désert qu'elle est préalablement perdue. L'armée française est trop lourde, trop peu offensive, ses blindés sont inadaptés à la puissance de feu de l'Allemagne nazie : aveuglée par le traumatisme de 14-18, la France court à la défaite. …