Les Les Terribles

Hippolyte et Aricie was Rameau's first surviving lyric tragedy and is perhaps his most durable, though you wouldn't know it from the decades we had to wait for a modern recording. Now there are two: this one, conducted by Marc Minkowski, and William Christie's version on Erato. Choosing between the two is tough. Minkowski uses a smaller and probably more authentic orchestra, and with the resulting leaner sound, the performance has more of a quicksilver quality accentuated by Minkowski's penchant for swift tempos. His cast is excellent. –David Patrick Stearns

Ce coffret en carton est une édition petit budget de l'intégrale de luxe de Joe Dassin parue en 1995 sous la forme d'une grosse boîte à cigares. Elle contient 244 chansons, listées sur la page suivante avec liens pour les paroles.
Une intégrale pour pas cher c'est bien beau, encore faut-il avoir envie de l'écouter car contrairement à Mozart ou Léo Ferré, la seule présence des oeuvres complètes de Joe Dassin dans votre salon n'épatera personne.

Marais's Alcione is the last great 'tragedy' in music from the reign of Louis XIV. It is a total spectacle at the crossroads of the 17th and 18th centuries, from which it takes the mythological source, it's praise of the sovereign's glory and the literary requirement to combine choreography and stage movements. Jordi Savall rediscovered this work and brought it back to life for the first stage production in Paris since 1771.

Marguerite Long et les Pasquier dans le Quatuor op. 15 ? Trésor d'une discographie comparée, et centre d'un album résumant les années 1870 de Fauré. Nul de ses élèves, de ses contemporains et des lecteurs de son livre Au piano avec Gabriel Fauré ne devait l'ignorer : Marguerite Long (1874-1966) savait mieux que personne jouer la musique de son « ami », elle qui l'avait bue à la source. Si Fauré n'était pas pressé de distinguer un gardien du temple, elle s'installait à l'entrée avec autant de fierté batailleuse (mais pouvait-il en être autrement pour une musicienne dans le Paris des années 1900 ?), de petits arrangements avec le souvenir du compositeur (« ami » surtout de son mari le musicologue Joseph de Marliave, mort à la Grande Guerre) et de vanité (terribles interviews) que d'exigence perspicace, de fierté légitime et d'amour pour une musique qu'elle aura servie sans relâche. C'est d'ailleurs à quatre-vingts ans que la pianiste invite le Trio Pasquier à graver avec elle le Quatuor op. 15 !

From Monteverdi to Brahms via French Baroque rarities: the Decca Gold (US) legacy of a complete musician, newly remastered and issued complete for the first time, with fascinating liner notes by Nigel Simeone. Original Jackets, Limited Edition.

Alpha presents the reissue of Ensemble Pygmalions version of Dardanus, conducted by Raphaël Pichon and recorded in the majestic acoustics of the Opéra Royal at Versailles Palace. This set won multiple awards on its first release: Rameau, a flinty-hearted composer lacking in imagination? Rameau, a cold mathematician in his chord progressions and a severe draughtsman in his vocal lines? One need only listen, in Dardanus, to the melancholy laments of Princess Iphise, splendidly sung by the soprano Gaëlle Arquez, to realise the treasures of tenderness and invention that still remained in the youthful heart of the fifty-six-year-old composer! . . . This version, which fills an important gap in the discography, possesses all the assets needed to speak to us today, and to last.