« La tragédie s'accommode mal du smoking et du plastron en dentelles : elle s'est terriblement encanaillée. La tragédie, c'est la mort toute prête que l'on rencontre dans le monde des gangsters ou dans une période particulière, comme la guerre. »
De Martin Scorsese à John Woo en passant par Quentin Tarantino ou Jim Jarmusch, nombreux sont les cinéastes à se réclamer de Jean-Pierre Melville (1917-1973), tant celui-ci aura renouvelé le cinéma de genre. …
Né en France sous sa forme la plus rudimentaire avec les opérateurs Lumière, le documentaire a acquis ses lettres de noblesse hors de France avec Robert Flaherty aux États-Unis. Dziga Vertov en Union soviétique et John Grierson en Grande-Bretagne. Pour sa part, le documentaire français s'est construit sous l'influence des techniques et des climats historiques, chaque décennie apportant sa contribution et ajoutant des genres nouveaux. …
Par le réalisateur du Chagrin et la Pitié et d'Hôtel Terminus (Oscar du meilleur film documentaire en 1989).
Longtemps, Marcel Ophuls a répété qu’il n’avait pas le courage de rédiger son autobiographie. Par chance, il a finalement décidé d’écouter son ami François Truffaut qui, à la fin de sa vie, lui avait fait promettre de rédiger ses Mémoires. …
This fine work, in the perfect Classical tradition, is from late in Piccinni’s French period. It was composed in 1783 and was performed in Paris regularly until 1836 and throughout the rest of Europe until about 1830. Piccinni keeps the plot moving at a fine clip, running one number into the next without a glitch and (especially in the third act) effectively using the chorus to add to the excitement. His writing for the solo voices is stirring in a Gluckian way, but elements of his Italian roots show up in the vocal line and melodic inspiration as well.
This fine work, in the perfect Classical tradition, is from late in Piccinni’s French period. It was composed in 1783 and was performed in Paris regularly until 1836 and throughout the rest of Europe until about 1830. Piccinni keeps the plot moving at a fine clip, running one number into the next without a glitch and (especially in the third act) effectively using the chorus to add to the excitement. His writing for the solo voices is stirring in a Gluckian way, but elements of his Italian roots show up in the vocal line and melodic inspiration as well.