Mother Mojo was an excellent follow-up to Satan & Adam's first-rate debut, Harlem Blues. The duo hasn't abandoned their minimalist guitar and harp blues, but there is a loose energy that keeps the music fresh and consistently engaging.
The pair's sound is beefed up intermittently by percussionist Sammy Figueroa, but their telepathic sense of interplay emerges unscathed. Satan, billed as Sterling Magee when he recorded for Ray Charles' Tangerine label during the late 1960s ("Seventh Avenue," a remake of Magee's "Oh Wasn't She Pretty" from that era, is irresistible) owns a wonderfully raspy voice not unlike Brother Ray's. He powerfully delivers the churning title cut, the message songs "Freedom For My People" and "Ain't Nobody Better Than Nobody," and a torrid remake of Solomon Burke's "Cry To Me."
En Artois, l'histoire de l'abbé Donissan, curé de campagne, qui tente de sauver Mouchette, la jeune meurtrière de son amant, de son désespoir et de la tentation du diable. Elle finit par se trancher la gorge, mais Donissan, dans sa fréquentation et sa résistance à Satan, aura trouvé l'étroit chemin de la sainteté. …
En Artois, l'histoire de l'abbé Donissan, curé de campagne, qui tente de sauver Mouchette, la jeune meurtrière de son amant, de son désespoir et de la tentation du diable. Elle finit par se trancher la gorge, mais Donissan, dans sa fréquentation et sa résistance à Satan, aura trouvé l'étroit chemin de la sainteté. …
En Artois, l'histoire de l'abbé Donissan, curé de campagne, qui tente de sauver Mouchette, la jeune meurtrière de son amant, de son désespoir et de la tentation du diable. Elle finit par se trancher la gorge, mais Donissan, dans sa fréquentation et sa résistance à Satan, aura trouvé l'étroit chemin de la sainteté. …